samedi 10 août 2019

Décryptage des "mensonges" de l'idéologie LGBT (2)

Ils disent : « Il y a plusieurs modèles de familles équivalents »

En réalité, la famille traditionnelle est la seule structure sociétale viable et respectueuses des droits de l'enfant.

Après avoir longuement argumenté sur ce quoi a besoin un enfant pour devenir un citoyen ou citoyenne équilibré(e), venons-en à la question des « modèles ».

Commençons par en faire une liste :
a) La famille (dite traditionnelle)
b) La structure monoparentale (famille monoparentale)
c) La structure recomposée (famille recomposée)

A cette liste, certains souhaiteraient ajouter des structures composées de deux personnes de même sexe et des enfants, structure souvent dénommée « famille homoparentale ».

Tout d’abord nous pouvons observer qu’il y a des termes contradictoires.

Une famille ne peut être monoparentale : une personne seule ne peut avoir des enfants. En vérité cet abus de langage veut désigner le fait que par les aléas de la vie, un des parents biologiques s’est retrouvé seul à assumer la responsabilité des enfants. Cette situation n’est pas idéale pour le parent en question ni pour les enfants.

La structure recomposée est également le résultat des divers aléas et choix de vie qui ont conduit des parents à se réunir. 

Mais comme nous l’avons indiqué, en général, les beaux-pères ne se comportent pas avec les enfants de la même façon que le père biologique l’aurait fait. Il est en de même pour d’éventuelles petits-amis de la mère. Encore une fois, les données sont formelles sur le fait que ce n’est pas idéal pour les enfants. Par ailleurs il est utile de rappeler que ces structures ne résultent pas d’un désir délibéré des adultes en question, mais sont le résultat des aléas de la vie. Les adultes ont tout d’abord cherché à établir une famille traditionnelle. 

La fameuse structure « homoparentale » est d’une toute autre nature

Tout d’abord il s’agit d’une création artificielle délibérée, et est donc tout à fait différent de la situation (b) ou (c). Deuxièmement, les enfants ne pourraient jamais être les enfants biologiques des deux adultes : tout au plus de l’un. La notion « homo-parents » est un oxymore. Enfin, troisièmement, il manquera obligatoirement ou bien la mère biologique et en fait une mère tout court ou bien le père biologique et en fait un père tout court. Les rôles complémentaires apportés par l’homme et la femme, dont nous avons montré le caractère essentiel (pour l’enfant) ne peuvent donc pas être présents. Par ailleurs les statistiques sont formelles que ce rôle ne peut pas être rempli par un autre membre de l’entourage.

Cette dernière structure, crée de toute pièce, paraît donc en entière contradiction avec « Considérant que l’humanité se doit de donnerà l’enfant le meilleur d’elle-même » de la déclaration du droit de l’enfant.

Ici l’humanité ne donne pas le meilleur car l’enfant ne disposera pas, ab initio, des modèles complémentaires dont il a besoin.

Aucun commentaire: